C’est dans la boîte
« C’est dans la boîte », une collection qui aborde tous les sujets de l’entreprise avec une approche inédite: une alternance d’analyse et de fiction. De l’incarnation, du ludique, un regard parfois ironique, mais de la rigueur dans le propos.
À lire comme une histoire.
À utiliser comme un manuel pratique.
C’est dans la boîte : Sur les routes du digital
« Sur les routes du digital », aborde la transformation numérique en ajoutant une nouvelle dimension, ancrée dans le réel : des interviews de dirigeants qui ont conduit cette transformation dans leur entreprise, Mi-chelin, Air France, Veolia, Publicis, Dassault Systèmes, Accor…
Une démonstration par la vraie vie qui confère au propos d’autant plus de robustesse.
Côté fiction, nous suivons l’intégration du digital dans la PME « Cycles Vidal »: de la conception de nouveaux produits aux changements dans les process, en passant par le développement de services aux usagers…
même le partage de la valeur est concerné !
Un défi pour Lise, qui mène cette mutation, et encore plus pour Julien Vidal, PDG paternaliste à tendance digito-sceptique.
C’est dans la boîte : Bréjac-en-RSE
« Bréjac-en-RSE », le quatrième tome, quitte le contexte de l’entreprise pour le secteur public, en mettant en lumière de façon concise et pragmatique les nécessités de communication induites par le déploiement du projet durable d’une collectivité.
La fiction propose de suivre la transformation de Bréjac, petite commune du Massif-central, que la mordante maire Amandine Debreuil souhaite faire sortir du surtourisme, pour l’orienter vers une réindustrialisation verte, une gestion durable de leur patrimoine naturel et un changement dans les comportements.
Mais tout le monde ne l’entend pas de cette oreille…
C’est dans la boîte : Alors demain, on travail comment?
«Alors demain, on travaille comment ? », le deuxième tome, propose une analyse des récentes évolutions du travail, des perspectives et des solutions pour gérer sa complexité croissante. Le tout est mis en scène dans la fusion d’une startup et d’une entreprise « ancien monde ».
Le choc des cultures.
C’est dans la boîte : Compétences, le New Deal
Rien ne va plus !
Thomas Capelier, dirigeant de LudoExpress est sur la sellette, les résultats de l’entreprise déclinent et le conseil d’administration n’est pas tendre avec lui. On lui colle de surcroît une nouvelle DRH, Karine Collet, qu’il n’a pas choisie.
Ce qui est rapidement identifié, c’est un déficit de compétence : Karine propose un New Deal, pour organiser une montée en compétences globale.
Evaluations, référentiel, formation…
Il y a beaucoup à faire, mais le plus grand défi va être de recueillir l’adhésion de chacun.